Place aux nouvelles énergies qui devraient réguler cette équation : Climat / Habitat / Occupant - Déplacements maintenant que : "Si l’ISBA renaissait de ses cendres" est dévoilée.
Petit retour quelques années en arrière pour évoquer notre rencontre avec Julien Rathle de la société Airdesignlab venu s’installer sur l’aéroport de Toussus. Il avait inauguré « le ciel artificiel » en 2012 et fut finaliste du Grand-Prix de l'Innovation de la Ville de Paris lors de cette même année, dans un projet de transformer les conduits de cheminée inutilisés en climatiseurs et chauffages naturels. (Plus de 47.000 copropriétés uniquement sur Paris intra-muros). Un prototype est installé à l’université d’Orsay.
Ventilation / chauffage
Comment donc ne pas penser à lui pour la climatisation du bâtiment modal proposé dans la partie I si l’ISBA renaissait de ses cendres et à qui nous avions montré le projet.
Actuellement donnant des cours à l’Université de St Quentin en Yvelines, nous aurions aimé l'intégrer ainsi que ses élèves à cet appel à projets d'Aéro-Saclay 2017. Les circonstances ne l'ont pas permises.
Il pourrait y apporter une expertise complémentaire pointue à notre dossier.
Energie et phares aéronautiques :
L'apport d'énergie via les panneaux solaires, leurs efficacités et leurs rentabilités ne sont plus à démontrer. C’est toutefois l’éolienne que nous sollicitons pour le plus grand volume d'apport d' énergie électrique nécessaire au fonctionnement de TOUT l'aéroport et même à en distribuer à la commune pour l' éclairage de ses voiries et bâtiments publics.
Le positionnement de l’aéroport sur un plateau est idéal pour ce type de fourniture d’énergie. ( le plateau de Saclay se situe à 150 m d'altitude en moyenne. Il est régulièrement exposé au vent)
Une ou deux éoliennes à pales verticales seraient suffisantes pour alimenter plus de 2000 personnes.
Ces éoliennes équipées de réflecteurs et d’un laser de nuit pourrait être en même temps des phares aéronautiques, repères visuels aux pilotes quelque soit la météo, de jour et de nuit.
L'apport d'énergie via les panneaux solaires, leurs efficacités et leurs rentabilités ne sont plus à démontrer. C’est toutefois l’éolienne que nous sollicitons pour le plus grand volume d'apport d' énergie électrique nécessaire au fonctionnement de TOUT l'aéroport et même à en distribuer à la commune pour l' éclairage de ses voiries et bâtiments publics.
Le positionnement de l’aéroport sur un plateau est idéal pour ce type de fourniture d’énergie. ( le plateau de Saclay se situe à 150 m d'altitude en moyenne. Il est régulièrement exposé au vent)
Une ou deux éoliennes à pales verticales seraient suffisantes pour alimenter plus de 2000 personnes.
Ces éoliennes équipées de réflecteurs et d’un laser de nuit pourrait être en même temps des phares aéronautiques, repères visuels aux pilotes quelque soit la météo, de jour et de nuit.
Déplacements, en projection du court au long terme :
A la constatation des voies de communications saturées sur le plateau et la volonté délibérée des maires et de leurs habitants, d'user de tous les stratagèmes afin d'éviter une circulation chargée traversant leurs communes, une boucle de transports varié et combinée serait une solution qui pourrait se mettre rapidement mise en place pour les déplacements extra-muros,
La future ligne 18 du métro dite ligne verte du Grand Paris, excentrée vers le CEA, n'apporterait aucune valeur ajoutée à l'activité de l'aéroport sinon des nuisances à tout le tracé en aérien et des communes qui se battent pour enterrer ce metro qu'ils n'en veulent pas en aérien.
Quant au projet de dédoublement de la D36 pour le décongestionnement de la circulation, il ne fera que déplacer le bouchon un peu plus loin, vu la tendance d'urbanisation du plateau en route vers le Grand Paris.
A la constatation des voies de communications saturées sur le plateau et la volonté délibérée des maires et de leurs habitants, d'user de tous les stratagèmes afin d'éviter une circulation chargée traversant leurs communes, une boucle de transports varié et combinée serait une solution qui pourrait se mettre rapidement mise en place pour les déplacements extra-muros,
La future ligne 18 du métro dite ligne verte du Grand Paris, excentrée vers le CEA, n'apporterait aucune valeur ajoutée à l'activité de l'aéroport sinon des nuisances à tout le tracé en aérien et des communes qui se battent pour enterrer ce metro qu'ils n'en veulent pas en aérien.
Quant au projet de dédoublement de la D36 pour le décongestionnement de la circulation, il ne fera que déplacer le bouchon un peu plus loin, vu la tendance d'urbanisation du plateau en route vers le Grand Paris.
L'étude d'une version "autolib" avec le Technocentre Renault pourrait apporter la solution dans une équation de partenariat régional public/privés orchestrée et cumulée à des transports publics à énergie propre ainsi que le développement de la circulation douce au travers des vélos à assistance électrique (VAE).
Trophée du Centenaire 2007 |
Des atouts pour des résultats immédiats sur des infrastructures actuelles et le clin d'oeil au déplacement intra-muros:
Une attractivité à la clientèle de passage sur cet aéroport centenaire.
Prochainement, la partie III de notre regard d'Aériapole bâti sur un modèle anthropique sur lequel nous développons bénévolement, depuis 2006, pour cet aéroport, Berceau de l'aviation d'où la terre à pris ses ailes.
Mise à jour du 22/6/2017 : (dossier complet en pdf, version imprimable - cliquez ici ) Regards d'aériapole dans l'Aéro-Saclay an III 2017
Liens sur les articles précédents du même sujet :
Regards d'Aériapole : part 1 - Si l'ISBA renaissait de ses cendres
Regards d'Aériapole sur l'aéroport du futur dans le cadre d'Aéro-Saclay 2017
An I – 2015 : une semaine de l’industrie qui surfe sur la vague d’Aériapole et le principe anthropique.
Mise à jour du 22/6/2017 : (dossier complet en pdf, version imprimable - cliquez ici ) Regards d'aériapole dans l'Aéro-Saclay an III 2017
Liens sur les articles précédents du même sujet :
Regards d'Aériapole : part 1 - Si l'ISBA renaissait de ses cendres
Regards d'Aériapole sur l'aéroport du futur dans le cadre d'Aéro-Saclay 2017
An I – 2015 : une semaine de l’industrie qui surfe sur la vague d’Aériapole et le principe anthropique.
An II – 2016 : AN II, les absents et les gagnants.
An III – 2017 : Aero Saclay, Evénementiels,Hôtel et Hospitalité