Faisant
suite à nos recherches concernant les différents événementiels survenus sur l’aéroport
de Toussus, en remontant les archives, nous avons pu revoir une émission réalisée en 1962 par Jacques Donot et Jean Noel Roy, « En direct de Toussus le Noble » qui démarre par les
pilotes automobiles des 24 heures du Mans qui venaient au circuit de course, avec leurs avions, depuis Toussus-le-Noble.
Des équipements allant du moteur des Mystères de la Patrouille de France, aux moteurs à piston des avions, du train d’atterrissage de la caravelle et des machines pour le centre nucléaire du CEA.
Ce n’est en 1951 que l’aéro-club ira s’installer à Pontoise-Cormeilles.
En fait la création de l’aéro-club Hispano-Suiza se situe durant l’année 1935, lorsqu’une poignée de
« mordus » d’aviation de la société Hispano-Suiza ont fondé une
section de vol à moteur.
Cette section, affiliée à l’aéro-club de la Banlieue ouest-parisienne, exerçait son activité aux centres inter-clubs de Mantes et de Beynes-Thiverval. La guerre avait tout arrêté en dispersant les hommes et le matériel. Mais la passion aéronautique ne disparut pas et se manifesta à la fin de la guerre par la création, en février 1945, d’une section toujours affiliée à l’aéro-club de la Banlieue ouest-parisienne.
Cette section, affiliée à l’aéro-club de la Banlieue ouest-parisienne, exerçait son activité aux centres inter-clubs de Mantes et de Beynes-Thiverval. La guerre avait tout arrêté en dispersant les hommes et le matériel. Mais la passion aéronautique ne disparut pas et se manifesta à la fin de la guerre par la création, en février 1945, d’une section toujours affiliée à l’aéro-club de la Banlieue ouest-parisienne.
Cette section a démarré plusieurs activités à la mesure des circonstances,
qui étaient à l’époque dominées par une absence presque totale de matériel
volant.
Ses activités se limitaient, entre autres, aux cours d’enseignement aéronautique dans le domaine de la météorologie, de l’aérodynamique, de la théorie moteur, en tenant compte du programme de préparation au B.E.S.A. (Brevet Élémentaire des Sports Aériens) ou de celui de l’enseignement prémilitaire.
C’est le 23 octobre 1945, que le nom de l’aéro-club Hispano-Suiza paraît dans le Journal officiel .
Le groupe actuel à Pontoise-Cormeilles prend le nom de Guynemer – le capitaine Guynemer, as de la Première Guerre mondiale, a été étroitement lié à la société Hispano-Suiza, dans le cadre de la mise au point du moteur 8 cylindres de son Spad.
La société a choisi par la suite pour emblème celui de l’escadrille de Guynemer et de la cigogne.
Ses activités se limitaient, entre autres, aux cours d’enseignement aéronautique dans le domaine de la météorologie, de l’aérodynamique, de la théorie moteur, en tenant compte du programme de préparation au B.E.S.A. (Brevet Élémentaire des Sports Aériens) ou de celui de l’enseignement prémilitaire.
C’est le 23 octobre 1945, que le nom de l’aéro-club Hispano-Suiza paraît dans le Journal officiel .
Le groupe actuel à Pontoise-Cormeilles prend le nom de Guynemer – le capitaine Guynemer, as de la Première Guerre mondiale, a été étroitement lié à la société Hispano-Suiza, dans le cadre de la mise au point du moteur 8 cylindres de son Spad.
La société a choisi par la suite pour emblème celui de l’escadrille de Guynemer et de la cigogne.
Et pour faire la transition, comment ne pas se souvenir de notre déplacement avec la DGAC en compagnie de Jacques Pageix et Jean Claude Caye pour rencontrer le directeur du Musée Régional de l’Air, M Christian Ravel, un fervent soutien et de précieux conseils dans l’organisation du Centenaire de Toussus.
Il nous avait fait visiter son atelier ou le SPAD de Guynemer était reconstruit à l’identique, ainsi que les archives Musée régional d’Angers.
Il nous avait fait visiter son atelier ou le SPAD de Guynemer était reconstruit à l’identique, ainsi que les archives Musée régional d’Angers.