Quand une idée fait son chemin, germe et développe des actions concrètes et positives sur le terrain, comment ne pas être satisfait que le concept d'Aeriapole, celui d'être acteur dans son environnement autour d'un aéroport, porte ses fruits.
D'une discussion, entre amis, au coin d'une cheminée en 2011 (lire article) à la communication d'ADP dans Aéropage en juillet 2012 et à la reconnaissance de la biodiversité sur l'aéroport de Toussus dans le rapport de la Commission Consultative de l'Environnement de l'aérodrome de Toussus (CCE) du 17 janvier 2013, Bravo à ces abeilles butineuses pour ce formidable chemin parcouru. Quel bon miel qu'elles nous offrent pour ce début d'année.
Évitons toutefois les envolées lyriques et gardons nos pieds sur terre.
Il aura fallu la conviction et l'initiative d'une entreprise privée telle que la société Arc en Ciel, entourée et épaulée par des acteurs tels qu'Aériapole, Heli Union, l'ACOP et Aviation Sans Frontières avec la collaboration soutenue par ADP, sans qui rien n'aurait pu être réalisé, pour lancer cette dynamique et qui n'est qu'au début du chemin.
En projet avec Alain Merour d'e-aviation et Patricia Lamy nous envisageons, au printemps, une journée porte ouverte dans les locaux d'ASF avec l'école de Toussus afin de discuter miel et abeilles et de montrer à la nouvelle génération, depuis l'aéroport de Toussus, l'horizon dégagé que le monde de l'aéronautique pourrait ouvrir.
Sur les pots de miel d'Aériapole est marqué : Miel de Toussus - Miel de la terre qui a pris des ailes.
29/01/2013
23/01/2013
Marie-Hélène Aubert à l'écoute de Velobuc
Une réunion a été organisée ce jour entre Mme la Conseillère Générale Marie-Hélène Aubert, Mme Britta Boutry Présidente de VeloBuc et M Gérard Finan chargé de l'antenne VeloToussus dans le but de discuter le projet de jonction de piste cyclable ainsi qu’un cheminement piéton entre Toussus et Buc et de mettre en avant le projet 2/88.
Différents projets sont actuellement à l'étude par Versailles Grand Parc et le Conseil Général. Vélobuc souhaiterait que certains impératifs soient pris en compte pour que cette piste cyclable réponde bien aux attentes des usagers, de plus en plus nombreux à rejoindre la gare des Chantiers en vélo.
Mme MH Aubert s'est engagée à porter ces attentes auprès du Conseil Général.
Une équation à trouver entre : rentabilité, mobilité, efficacité et sécurité pour les personnes de tous âges entre 12 et 77 ans qui voudront relier les deux communes de Toussus et de Buc à Versailles, en toute confiance.
L'usage du vélo pour des courtes distances étant le moyen le plus efficace, le plus économique et le plus sain dans un environnement qui s'y prête. Au goût du jour, c'est un changement dans les mentalités et les modes de transport qui s'opère à la condition d'avoir les infrastructures adéquates.
La prochaine étape de l'action de VeloBuc serait de réaliser sur le terrain les divers parcours suggérés afin de se rendre compte de visu des différents aléas des projets proposés.
Différents projets sont actuellement à l'étude par Versailles Grand Parc et le Conseil Général. Vélobuc souhaiterait que certains impératifs soient pris en compte pour que cette piste cyclable réponde bien aux attentes des usagers, de plus en plus nombreux à rejoindre la gare des Chantiers en vélo.
Mme MH Aubert s'est engagée à porter ces attentes auprès du Conseil Général.
Une équation à trouver entre : rentabilité, mobilité, efficacité et sécurité pour les personnes de tous âges entre 12 et 77 ans qui voudront relier les deux communes de Toussus et de Buc à Versailles, en toute confiance.
L'usage du vélo pour des courtes distances étant le moyen le plus efficace, le plus économique et le plus sain dans un environnement qui s'y prête. Au goût du jour, c'est un changement dans les mentalités et les modes de transport qui s'opère à la condition d'avoir les infrastructures adéquates.
La prochaine étape de l'action de VeloBuc serait de réaliser sur le terrain les divers parcours suggérés afin de se rendre compte de visu des différents aléas des projets proposés.
14/01/2013
Vous avez dit : Rue Cyclable ?
Dernière Info concernant le vélo et une nouvelle signalisation pour les rues cyclables qui se verront fleurir en Belgique :
Une loi sur les rues cyclables est entrée en vigueur le 27 décembre 2012.
La rue cyclable est une voie dans laquelle l'espace est insuffisant pour installer une piste cyclable et où la circulation de voitures doit être possible. Les cyclistes y détiennent la priorité absolue sur le trafic automobile.
Dans les rues cyclables, le cycliste peut utiliser toute la largeur de la voie publique lorsqu'elle n'est ouverte qu'à son sens de circulation et la moitié de la largeur (sur la droite) lorsque la rue est ouverte aux deux sens de circulation. (Source : Newsletter Pro velo)
En Belgique, depuis le 13 février 2012, le concept de « rue cyclable » a été officiellement intégré dans le Code de la route. Plus de 10 mois plus tard, les signaux officiels servant à indiquer le début et la fin de la rue sont arrivés. Le gouvernement a finalement opté pour un panneau indicatif de couleur bleue intitulé « rue cyclable » et montrant une voiture (en rouge) et un cycliste (en blanc). A la fin de la rue, on trouvera le même panneau, barré d'une large bande rouge. La mention « rue cyclable » n'est cependant pas obligatoire.
Cette loi vient à point pour légiférer ce mode de locomotion de plus en plus fréquent, dans les agglomérations.
D'où une réaction à chaud de Mme Britta Boutry-Stadelmann, présidente de VéloBuc lors d'une dernière réunion du Bureau regroupant les différentes antennes telles que VeloVersailles, Velotoussus et VeloChateaufort:
"Alors qu'en France, on considère toujours le cycliste comme une gêne ou un obstacle dans les rues étroites, nos voisins belges ont fait un pas en faveur du cycliste - à quand ce pragmatisme chez nous, qui permettrait aussi à une ville comme Versailles de ne pas tergiverser sur les DSC dans les rues étroites?
En France, quand il y a danger, on interdit (le piéton, le cycliste...) au lieu de traiter le point dangereux (en limitant la vitesse, en donnant priorité au vulnérable etc.). Les Belges, les Suisses et en France, les Strasbourgeois, les Bordelais sont pragmatiques pour le vélo, ce serait des exemples à suivre."
Une loi sur les rues cyclables est entrée en vigueur le 27 décembre 2012.
La rue cyclable est une voie dans laquelle l'espace est insuffisant pour installer une piste cyclable et où la circulation de voitures doit être possible. Les cyclistes y détiennent la priorité absolue sur le trafic automobile.
Dans les rues cyclables, le cycliste peut utiliser toute la largeur de la voie publique lorsqu'elle n'est ouverte qu'à son sens de circulation et la moitié de la largeur (sur la droite) lorsque la rue est ouverte aux deux sens de circulation. (Source : Newsletter Pro velo)
En Belgique, depuis le 13 février 2012, le concept de « rue cyclable » a été officiellement intégré dans le Code de la route. Plus de 10 mois plus tard, les signaux officiels servant à indiquer le début et la fin de la rue sont arrivés. Le gouvernement a finalement opté pour un panneau indicatif de couleur bleue intitulé « rue cyclable » et montrant une voiture (en rouge) et un cycliste (en blanc). A la fin de la rue, on trouvera le même panneau, barré d'une large bande rouge. La mention « rue cyclable » n'est cependant pas obligatoire.
Cette loi vient à point pour légiférer ce mode de locomotion de plus en plus fréquent, dans les agglomérations.
D'où une réaction à chaud de Mme Britta Boutry-Stadelmann, présidente de VéloBuc lors d'une dernière réunion du Bureau regroupant les différentes antennes telles que VeloVersailles, Velotoussus et VeloChateaufort:
"Alors qu'en France, on considère toujours le cycliste comme une gêne ou un obstacle dans les rues étroites, nos voisins belges ont fait un pas en faveur du cycliste - à quand ce pragmatisme chez nous, qui permettrait aussi à une ville comme Versailles de ne pas tergiverser sur les DSC dans les rues étroites?
En France, quand il y a danger, on interdit (le piéton, le cycliste...) au lieu de traiter le point dangereux (en limitant la vitesse, en donnant priorité au vulnérable etc.). Les Belges, les Suisses et en France, les Strasbourgeois, les Bordelais sont pragmatiques pour le vélo, ce serait des exemples à suivre."
02/01/2013
Vision d'Aériapole sur l'aéorport de Toussus-le-Noble
Dans la conjoncture actuelle, la présence de l’aéroport de Toussus, sa notoriété, son histoire et son économie apportent ce qu’Aériapole qualifierait, « Une sagesse et un raisonnement micro économique opportuns » .
Une question déjà posée lors de l'organisation du centenaire: Peut-on développer positivement une Région si nous ne connaissons pas l'Histoire de cette Région ?
Le Centenaire en 2007 était l’occasion de raconter l’histoire de cette région où « les ailes ont pris racine ». C’était un évènement pour préserver, entretenir et transmettre le patrimoine aux générations à venir.
Aussi c’était l’occasion de réfléchir à l’importance de la présence et de l’avenir de cet aéroport, chahuté par un appétit urbain des communes situées dans sa zone d'espace aérien.
Afin qu’il puisse assurer sa pérennité et préserver ses ressources, faudrait-il qu’il puisse pérenniser son existence et équilibrer ses comptes.
Dans un cadre de gestion saine, peu de recettes et trop de dépenses entraînent un marasme micro-économique, tel que nous le vivons sur une échelle macro-économique en Europe.
D’une part, si la disparition de cet aéroport aurait lieu,comme certains élus le souhaitent, cela engendrerait le développement d'une urbanisation intensive. Elle entraînerait un engorgement rapide des infrastructures.
De plus l'arrivée d’une population de tous horizons, dans un environnement économiquement nomade avec peu ou pas de connaissance sur l'histoire de l’endroit qu’ils ont choisi, au grès de leur travail, entraînerait une dilution du savoir au profit d'un mercantilisme à court terme.
Sur le plateau de Saclay, la demande foncière n’est plus à démontrer.
D’une autre part, une exploitation intensive aéroportuaire provoquerait un déséquilibre environnemental dans une région où population, mairies, parcs naturels et communes cherchent à tout prix un développement sain, dynamique et serein.
Toussus-le-Noble ayant été désignée Porte du parc de Chevreuse est très significative à cet égard.
Si un aéroport de par sa définition et conception est un espace ouvert, son infrastructure spécifique sa réglementation aérienne adaptée sont autant d’éléments qui préservent les communes autour de l’aéroport et assurent la continuité d’un espace dégagé et d’un plateau à vocation agricole, limitant un urbanisme vertical. L’assurance du maintien d’une qualité de vie, dans le respect de l’historique du terrain et le maintien d’un vivier économique créateur d’emplois et de vocations.
Les projets à grande échelle tel que le Grand Paris, son métro ou l’expansion des communes limitrophes de Toussus, sont directement concernés
Cet aéroport, à l’Ouest de Paris, limité à la petite aviation d’affaires pourrait répondre à la nouvelle demande des entreprises et de l’aviation d’affaires établies sur le plateau, tout en préservant l’aviation de loisir pour les aéroclubs ayant pu moderniser leur flotte et ayant su s’adapter aux nouvelles normes environnementales.
Établissant un équilibre et répondant aux critères économiques et environnementaux il sera ainsi permis à cet endroit historique et mythique d’assurer son existence, de préserver et développer une richesse économique, conserver des surfaces agricoles, maîtriser une urbanisation intensive. Nous aurons également répondu en temps et en délais aux demandes des entreprises, du secteur médical ou de la sécurité qui veulent acheminer rapidement personnes et matériels et désengorger une infrastructure routière congestionnée.
La présence et la préservation équilibrée de l’aéroport de Toussus, cette terre où les ailes ont pris racines sont plus qu’une page d’Histoire de l’Aviation à transmettre. Elles sont primordiales dans la gestion saine du Plateau de demain.
Une question déjà posée lors de l'organisation du centenaire: Peut-on développer positivement une Région si nous ne connaissons pas l'Histoire de cette Région ?
Le Centenaire en 2007 était l’occasion de raconter l’histoire de cette région où « les ailes ont pris racine ». C’était un évènement pour préserver, entretenir et transmettre le patrimoine aux générations à venir.
Aussi c’était l’occasion de réfléchir à l’importance de la présence et de l’avenir de cet aéroport, chahuté par un appétit urbain des communes situées dans sa zone d'espace aérien.
Afin qu’il puisse assurer sa pérennité et préserver ses ressources, faudrait-il qu’il puisse pérenniser son existence et équilibrer ses comptes.
Dans un cadre de gestion saine, peu de recettes et trop de dépenses entraînent un marasme micro-économique, tel que nous le vivons sur une échelle macro-économique en Europe.
D’une part, si la disparition de cet aéroport aurait lieu,comme certains élus le souhaitent, cela engendrerait le développement d'une urbanisation intensive. Elle entraînerait un engorgement rapide des infrastructures.
De plus l'arrivée d’une population de tous horizons, dans un environnement économiquement nomade avec peu ou pas de connaissance sur l'histoire de l’endroit qu’ils ont choisi, au grès de leur travail, entraînerait une dilution du savoir au profit d'un mercantilisme à court terme.
Sur le plateau de Saclay, la demande foncière n’est plus à démontrer.
D’une autre part, une exploitation intensive aéroportuaire provoquerait un déséquilibre environnemental dans une région où population, mairies, parcs naturels et communes cherchent à tout prix un développement sain, dynamique et serein.
Toussus-le-Noble ayant été désignée Porte du parc de Chevreuse est très significative à cet égard.
Si un aéroport de par sa définition et conception est un espace ouvert, son infrastructure spécifique sa réglementation aérienne adaptée sont autant d’éléments qui préservent les communes autour de l’aéroport et assurent la continuité d’un espace dégagé et d’un plateau à vocation agricole, limitant un urbanisme vertical. L’assurance du maintien d’une qualité de vie, dans le respect de l’historique du terrain et le maintien d’un vivier économique créateur d’emplois et de vocations.
Les projets à grande échelle tel que le Grand Paris, son métro ou l’expansion des communes limitrophes de Toussus, sont directement concernés
Cet aéroport, à l’Ouest de Paris, limité à la petite aviation d’affaires pourrait répondre à la nouvelle demande des entreprises et de l’aviation d’affaires établies sur le plateau, tout en préservant l’aviation de loisir pour les aéroclubs ayant pu moderniser leur flotte et ayant su s’adapter aux nouvelles normes environnementales.
Établissant un équilibre et répondant aux critères économiques et environnementaux il sera ainsi permis à cet endroit historique et mythique d’assurer son existence, de préserver et développer une richesse économique, conserver des surfaces agricoles, maîtriser une urbanisation intensive. Nous aurons également répondu en temps et en délais aux demandes des entreprises, du secteur médical ou de la sécurité qui veulent acheminer rapidement personnes et matériels et désengorger une infrastructure routière congestionnée.
La présence et la préservation équilibrée de l’aéroport de Toussus, cette terre où les ailes ont pris racines sont plus qu’une page d’Histoire de l’Aviation à transmettre. Elles sont primordiales dans la gestion saine du Plateau de demain.
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