Dans l’attente de la réunion publique pour connaître la vision de l’avenir sur l’aéroport de Toussus par Madame la ministre Valérie Pecresse, nous aimerions dans notre contexte du concept de l’Aeriapole rappeler en quelques points le nôtre.
Notre plateau : Berceau de l’aviationNotre concept de l’aériapole c'est d’être acteur dans son environnement. Le centenaire de l’aéroport de Toussus a confirmé notre région comme berceau de l’aviation mondiale. Le fait de marquer en 2007 cette page de l’Histoire de l’Aviation n’était pas seulement un rappel à l’histoire mais de mettre en avant l’industrie et le savoir faire de l’époque dans un monde en pleine mutation.
Macro ÉconomieEn 2010, la situation n’a pas changé. Le monde évolue dans sa globalisation.
L’industrie et la richesse économique se déplacent vers des pays en voies de développement plus aptes à offrir à moindre coût leurs services et leurs produits.
La France, et l’Europe en général, ceux qu’on qualifie à l’étranger comme « le vieux monde », démontrent une capacité désordonnée et peu appropriée à agir ou réagir dans un monde en forte mutation.
Micro EconomieL’aéroport de Toussus dans tout cela, c’est justement un pôle régional historique, économique et social qui ne demande qu’à se développer. Ce ne sont pas les moyens qui manquent, mais le vouloir et la concertation.
Déduire que sa présence n’est que synonyme de nuisances sonores serait très vite réducteur et stérile.
C’est l’équivalent à couper la main d’un travailleur ou d’estropier un athlète à la veille d’une course de fond.
L’après centenaire à vu se développer sur le terrain des réalisations concrètes.
Du point de vue environnemental :Un effort obligé pour une réduction de la nuisance aérienne est en marche. Même si à ce jour, c’est sans grands résultats, cela démontre toutefois l’existence d’une volonté commune d’y aboutir.
Une maison de l’environnement sur l’aéroport avec des responsables de chaque bord, nommés par chacun des parties, serait pourtant comme pour Orly ou Roissy l’endroit qui dégagerai la charge de travail de chacun avec une garantie d’un objectif à atteindre.
L’espace nécessaire autour de l’aéroport et les terrains agricoles sont une garantie d’un cadre de vie qui empêche toute urbanisation horizontale ou verticale intensive avec une transformation du plateau en ville nouvelle sans âme et la dilapidation d’un patrimoine historique et économique.
D’un point de vue économique :Avoir des entreprises qui s’installent ou pourraient s’y développer à Toussus tels que
• Cobalt aircraft et son VLG
• l’aviation d’affaires adaptée au terrain à travers la mise en place d’un projet tel que celui d'AGATE (Nasa) concrétisé par le 100/24 en 2009 et 2010.
• Lisa Airplanes , l’AKOYA et le HY bird ou le Solarimpulse et leurs technologies modernes qui consomment 5 l/100kms ou qui volent à l’énergie solaire et l’hydrogène.
• Le team Big frog pour la course Reno2010
• La formation complémentaire de pilotes sur simulateurs de vols professionnels en tout temps.
D’un point de vue éducatif et de recherche :
• Former les jeunes aux métiers de l’aviation tel que l’arrivée du CFA ( centre de formation d’apprentis) dans un nouveau bâtiment de 2.400 mètres carrés, cofinancé par la Région à hauteur de 590.000 euros.
• Une initiation aux métiers de l’aéronautique depuis la classe de seconde comme à Aire sur l’Adour dans le département des Landes.
• Initier les jeunes de tous milieux dont les milieux défavorisés avec des projets tel que e- aviation d’Aviation Sans Frontières ou le Ciel et à Toi.
• Mise au service des aviateurs et professionnels de l’aviation pour transmettre leur savoir aux jeunes et aux écoliers.
• Concrétiser une réhabilitation du Fort de Buc par un projet anthropique tel que remis en date de janvier 2009 – Un centre dédié à la recherche et l’aviation ainsi que l’image 3D et l’infographie. - Projet présenté à Buc dans le cadre du concours pour la réhabilitation du fort du Haut Buc.
D’un point de vue promotion du patrimoine et Histoire de l’aéronautique :
• Se rapprocher du musée de la Ferté Alais pour fêter l’aviation chaque année et avoir un musée de l’aviation de proximité.
• Se rapprocher de musées européens tel que Duxford pour des échanges entre les jeunes sur des plateaux universitaires aussi dynamiques de Saclay et Cambridge.
D’un point de vue développement urbain :• Le départ de EAN ( Ets Aéronautique Naval) toute une Base militaire qui jouxte l’aéroport pourrait se transformer en pépinière d’entreprises spécialisées dans le secteur aéronautique, des logement d’étudiants, création d’hôtels deux et trois étoiles et d’une salle de conférence, de restaurants, pour hommes d’affaires venant sur le plateau de Saclay.
• D’un parc dédié au thème de l’environnement, dans le parc du Château.
Une vision dynamique du rôle économique de l'aéroport dans un monde en mutation ; Tout en admettant qu'il est essentiel qu'une nouvelle réglementation plus stricte des plages de silence soit à appliquer et à ne limiter les vols qu'aux écoles de pilotage ayant des avions nouvelle génération ou équipés de silencieux.
Notre plateau : Berceau de l’aviationNotre concept de l’aériapole c'est d’être acteur dans son environnement. Le centenaire de l’aéroport de Toussus a confirmé notre région comme berceau de l’aviation mondiale. Le fait de marquer en 2007 cette page de l’Histoire de l’Aviation n’était pas seulement un rappel à l’histoire mais de mettre en avant l’industrie et le savoir faire de l’époque dans un monde en pleine mutation.
Macro ÉconomieEn 2010, la situation n’a pas changé. Le monde évolue dans sa globalisation.
L’industrie et la richesse économique se déplacent vers des pays en voies de développement plus aptes à offrir à moindre coût leurs services et leurs produits.
La France, et l’Europe en général, ceux qu’on qualifie à l’étranger comme « le vieux monde », démontrent une capacité désordonnée et peu appropriée à agir ou réagir dans un monde en forte mutation.
Micro EconomieL’aéroport de Toussus dans tout cela, c’est justement un pôle régional historique, économique et social qui ne demande qu’à se développer. Ce ne sont pas les moyens qui manquent, mais le vouloir et la concertation.
Déduire que sa présence n’est que synonyme de nuisances sonores serait très vite réducteur et stérile.
C’est l’équivalent à couper la main d’un travailleur ou d’estropier un athlète à la veille d’une course de fond.
L’après centenaire à vu se développer sur le terrain des réalisations concrètes.
Du point de vue environnemental :Un effort obligé pour une réduction de la nuisance aérienne est en marche. Même si à ce jour, c’est sans grands résultats, cela démontre toutefois l’existence d’une volonté commune d’y aboutir.
Une maison de l’environnement sur l’aéroport avec des responsables de chaque bord, nommés par chacun des parties, serait pourtant comme pour Orly ou Roissy l’endroit qui dégagerai la charge de travail de chacun avec une garantie d’un objectif à atteindre.
L’espace nécessaire autour de l’aéroport et les terrains agricoles sont une garantie d’un cadre de vie qui empêche toute urbanisation horizontale ou verticale intensive avec une transformation du plateau en ville nouvelle sans âme et la dilapidation d’un patrimoine historique et économique.
D’un point de vue économique :Avoir des entreprises qui s’installent ou pourraient s’y développer à Toussus tels que
• Cobalt aircraft et son VLG
• l’aviation d’affaires adaptée au terrain à travers la mise en place d’un projet tel que celui d'AGATE (Nasa) concrétisé par le 100/24 en 2009 et 2010.
• Lisa Airplanes , l’AKOYA et le HY bird ou le Solarimpulse et leurs technologies modernes qui consomment 5 l/100kms ou qui volent à l’énergie solaire et l’hydrogène.
• Le team Big frog pour la course Reno2010
• La formation complémentaire de pilotes sur simulateurs de vols professionnels en tout temps.
D’un point de vue éducatif et de recherche :
• Former les jeunes aux métiers de l’aviation tel que l’arrivée du CFA ( centre de formation d’apprentis) dans un nouveau bâtiment de 2.400 mètres carrés, cofinancé par la Région à hauteur de 590.000 euros.
• Une initiation aux métiers de l’aéronautique depuis la classe de seconde comme à Aire sur l’Adour dans le département des Landes.
• Initier les jeunes de tous milieux dont les milieux défavorisés avec des projets tel que e- aviation d’Aviation Sans Frontières ou le Ciel et à Toi.
• Mise au service des aviateurs et professionnels de l’aviation pour transmettre leur savoir aux jeunes et aux écoliers.
• Concrétiser une réhabilitation du Fort de Buc par un projet anthropique tel que remis en date de janvier 2009 – Un centre dédié à la recherche et l’aviation ainsi que l’image 3D et l’infographie. - Projet présenté à Buc dans le cadre du concours pour la réhabilitation du fort du Haut Buc.
D’un point de vue promotion du patrimoine et Histoire de l’aéronautique :
• Se rapprocher du musée de la Ferté Alais pour fêter l’aviation chaque année et avoir un musée de l’aviation de proximité.
• Se rapprocher de musées européens tel que Duxford pour des échanges entre les jeunes sur des plateaux universitaires aussi dynamiques de Saclay et Cambridge.
D’un point de vue développement urbain :• Le départ de EAN ( Ets Aéronautique Naval) toute une Base militaire qui jouxte l’aéroport pourrait se transformer en pépinière d’entreprises spécialisées dans le secteur aéronautique, des logement d’étudiants, création d’hôtels deux et trois étoiles et d’une salle de conférence, de restaurants, pour hommes d’affaires venant sur le plateau de Saclay.
• D’un parc dédié au thème de l’environnement, dans le parc du Château.
Une vision dynamique du rôle économique de l'aéroport dans un monde en mutation ; Tout en admettant qu'il est essentiel qu'une nouvelle réglementation plus stricte des plages de silence soit à appliquer et à ne limiter les vols qu'aux écoles de pilotage ayant des avions nouvelle génération ou équipés de silencieux.
Un exposé que nous avions déjà présenté en fevrier 2006 à Mme Pecresse pour le projet du Centenaire de l'aéroport de Toussus.