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20/12/2012
E-Aviation à Toussus-le-Noble, un outil pédagogique méconnu, à developper
La célébration du Centenaire de l'aéroport de Toussus-le-Noble, a permis, en mai 2009, la création des bureaux d'Aviation sans Frontière avec la sponsorisation de grands groupes tel que Microsoft, Air France, ADP, Peugeot et bien d'autres.
C'est un formidable potentiel et outil pédagogique qui s'ouvre à toutes les écoles de la région et pour les enseignants qui souhaiteraient d'une manière ludique, enseigner plusieurs disciplines telles que : la physique, avec l'approche à tout ce qui vole et qui est plus lourd que l'air, la météo, la géographie en se déplaçant d'un endroit à un autre, les villes et les capitales du monde, la boussole, les mathématiques et ses calculs sur la vitesse, les résistances. Les longitudes, les latitudes, les fuseaux horaires, etc...
Un programme qui s'adapte à des élèves de tous âges.
L'équipe de pilotes bénévoles, autour d'Alain Mérour sont disponibles pour organiser des portes ouvertes aux écoles, sur un programme agréé par l'Education Nationale.
Chaque année plusieurs écoles du Département viennent pour une journée inoubliable sur l'aéroport de Toussus.
L'appel est lancé à toutes les écoles de Versailles Grand Parc afin de prendre contact avec e-aviation et organiser une journée découverte que les jeunes participants n'oublieront pas de sitôt. Une initiation sur une filière aéronautique et des métiers d'avenir.
Voir le site : e-aviation à Toussus-le-Noble
12/12/2012
Quand AirDesignLab transformerait les conduits de cheminée inutilisés en climatiseurs et chauffages naturels
08/12/2012
Chateaufort, la Geneste, Star Academy et Pégoud
Quel lien relie la commune de Chateaufort et le Château de la Geneste à la Star Academy, Célestin Adolphe Pégoud et l'histoire de l'aviation ?
Cette commune et ce lieu qui sont actuellement sous les feux de la rampe et des actualités.
Châteaufort, qui en ces temps modernes tente d'effacer son passé aéronautique, de se monter contre la présence de l'aéroport de Toussus, puis de l'installation des locaux de la "Star Academy" au Château de la Geneste, et prochainement un projet d'une célébration du Centenaire du saut en parachute d'Adophe Celestin Pégoud au dessus de ce même Château, .
Châteaufort rattrapée par son Histoire et son passé ? Et de se rappeler que des grands pilotes tel que Lucien Coupet et Alexandre Yvanoff y ont aussi habité.
Le saut en parachute de Pégoud qui n'a pas échappé à Isabelle Pasik, nouveau propriétaire du Château de la Geneste, qui compterait bien mettre en relief cet évènement.
Une fois de plus, pour certains se serait un formidable coup de marketing et pour d'autres faire revivre l'histoire de l'aviation qui a regroupé huit aérodormes sur le plateau, relatée dans le dernier livre de Colette Guettienne et Georges Beisson paru en 2011 et qui complète le livre "Azur et Or" réalisé par le GHTN, lors de la célébration du Centenaire.
Une occasion donc, pour créer une synergie où tout le monde pourrait se retrouver et monter un projet de célébration avec Pascal Bouchain, passioné de Pégoud et du comité Pégoud, à Montferrat (Isère). Comité qui était venu à Chateaufort sur une initiative de M Bouchain, "sur les traces de Célestin Pégoud, de Châteaufort à Buc"
A suivre....
05/12/2012
Ces entreprises, basées sur l'aéroport de Toussus et ouvertes au monde
01/12/2012
Nouvelle étude sur l'impact environnemental de l'aeroport de Toussus
Un savant fait travailler une puce. Il lui dit : - Saute ! La puce saute. Il lui coupe les pattes et dit : - Saute ! La puce ne saute pas, alors le savant note sur son carnet, "Lorsqu'on coupe les pattes d'une puce, elle devient sourde."
Si cette blague porte à sourire, les expériences et les études menées sur l'impact et l'utilité de cet aéroport ne portent plus à rire.
Couper les ailes à cet aéroport pour ensuite arriver au résultat qu'il ne peut plus voler est bien triste. Toutes ces études au résultat qui serait décrété d'avance n'auront rien compris à ce patrimoine aéronautique prestigieux qui renferme au formidable potentiel économique.
Au bénéfice d'une spéculation immobilière évidente.
Crédit photo : Pascal Bouchain - Centenaire aéroport Toussus-le-Noble 2007
17/10/2012
Ecologie industrielle et projets anthropiques
Lors du projet de la réhabilitation du fort du Haut Buc, ou du développement de la filière bois dans notre environnement immédiat, nous étions probablement avant-gardiste. Les circonstances économique et plein essor de cette période n’étaient pas trop favorables à ce genre de perspectives ; d'où le faible écho à un principe qui pourrait révolutionner notre façon de procéder, de consommer et de se développer.
Le 17 et le 18 octobre se tiendra à Troyes, une première. Rencontres francophones de l'écologie industrielle et territoriale.
Espérons que dans cette conjoncture morose les médias en feront grand écho. L'idée de créer une "économie circulaire" est en fait ce principe anthropique, base de création d'un système de vie tant physique qu'économique, se développant sur base de synergies dynamiques.
Détails sur le salon et programme
16/10/2012
Celestin Adolf Pégoud et Felix Baumgartner
Fous, aventuriers, téméraires ou les trois réunis ?
Célestin Adolphe Pégoud, le premier sauta à 250 mètres d'altitude et le second, Felix Baumgartner, de 22.000 mètres d'altitude.
Deux pionniers en la matière pour un même saut, en parachute.
De quoi se rappeler Pégoud lors de son premier saut au dessus du Château de la Geneste à Châteaufort : " Qu'importe si je meurs ce ne sera qu'un aviateur de moins ; mais si je réussi, combien d'existences précieuses seront conservés à l'aviation ".
Dans la communication d'aujourd'hui nous dirions : c'est un formidable coup de marketing ! Chapeau si cela fera avancer la science et se rappeler le jour où aussi, le Blériot et le Rafale se sont croisés pour la première fois dans le ciel bleu azur au centenaire de Toussus le Noble.
Depuis la découverte du feu, il y eut des sauts de puces dans 400.000 ans de l'histoire de l'humanité pour arriver à des sauts de géants ces derniers 100 ans. Châteaufort, Toussus-le-Noble et Buc, berceaux de l'aviation et patrimoines à préserver
Crédit photo : Pascal Bouchain
14/10/2012
VeloToussus et 2/88, échos favorables de la commune
Elle va oeuvrer dans le même esprit que VeloBuc, à savoir : faire reconnaître la marche à pied et le vélo comme moyens de déplacement à part entière, permettre le choix de la mobilité "active" au quotidien, faire développer des aménagements urbains en faveur d'un apaisement de la vitesse et encourager le respect mutuel entre les usagers.
Au sein du réseau cyclable de Versailles Grand Parc, il existe un réseau de 88 km de pistes cyclables sur le plateau de Saclay pour relier les villes, mais il manque un bout crucial de 2 km pour relier deux villes, Toussus-le-Noble et Buc. 2 petits kilomètres, sur le plat, pour de nombreux écoliers scolarisés sur Buc et une population jeune et active qui ne cesse de croître à Toussus.
La population Nobeltussoise y est sensible et l’adhésion, cette première année, de plus de 20 familles à VeloToussus pour mener à bien ce projet en est la preuve.
Le dépliant 2 / 88 distribué par Velobuc - VeloToussus sur les communes de Buc, Toussus et Chateaufort apporte des clarifications quant à la pertinence des demandes de l'association en parallèle à celui proposé par Versailles Grand Parc.
C'est par une démonstration de visu sur le terrain que Velobuc - VeloToussus chercherons à convaincre les responsables de VGP de la pertinence de leurs propositions, dans un but de sécurité, de tranquillité et de confort.
Télécharger le dépliant : Projet 2/88 VeloBuc-VeloToussus
Sites de référence :
http://velobuc.free.fr/toussuslenoble.html
http://velobuc.free.fr
17/09/2012
Journée du Patrimoine et Robin des bois
Crédit photo : Pascal Bouchain - Centenaire Toussus 2007
11/09/2012
Inauguration de la piste cyclable Buc / Les Loges en Josas
Discours des maires de Buc, M. Le Rudulier, des Loges, M. Confetti, et de Mme Aubert, conseiller général ont tous les trois souligné l’importance à l’heure actuelle du choix de la mobilité et de tenir compte des besoins des cyclistes quotidiens dans les aménagements, surtout quand il s’agit d’un itinéraire pour les collégiens.
C’est l’aboutissement d’un projet important que l’association VeloBuc a défendu dès 2004, et dont elle est bien sûr contente.
« Nous espérons que ce même élan permettra bientôt une liaison cyclable et piétonne entre Toussus et Buc, pour créer un maillage complet Châteaufort – Versailles : il ne manque que 2 kilomètres sur 88 de réseau cyclable dans notre coin ! » précise Gérard Finan, le responsable de l’antenne VeloToussus et auteur du slogan « 2/88 ».
VeloBuc et ses antennes oeuvrent dans le même esprit : faire reconnaître la marche à pied et le vélo comme moyens de déplacement à part entière, permettre le choix de la mobilité "active" au quotidien, faire développer des aménagements urbains en faveur d'un apaisement de la vitesse et encourager le respect mutuel entre les usagers.
Tous les renseignements sur le site http://velobuc.free.fr/
03/07/2012
Restitution et restauration d'élements de l'Aéroparc Blériot à Buc
Un peu d’histoire :
Le 25 juillet 1909, l’aviateur Louis Blériot réussit l’exploit de la traversée de la Manche à bord du Blériot XI. Fort de cette notoriété, il choisit le terrain de Buc pour créer, au sein de son entreprise Blériot-Aéronautique, un site particulier, proche de Paris, pour les essais d’appareils et la formation des pilotes. Sur le modèle du succès de Port-Aviation à Viry-Châtillon, il souhaite également pouvoir y présenter des spectacles aériens. Le site, inauguré le 13 novembre 1912, comporte un bâtiment principal, siège de l’école de pilotage, faisant office également d’hôtel pour les aviateurs et apprentis pilotes, précédé d’une porte monumentale, signal visible de loin. Des hangars et une immense tribune complètent le dispositif.
Le site est très actif pendant la Première guerre mondiale et dans les années 20 notamment avec les avions SPAD. Les années trente marquent un déclin et la fin d’une époque avec le décès, en 1936, de Louis Blériot. De 1940 à 1944, le site est occupé et bombardé plusieurs fois en 1944. A l’issue du conflit, le terrain est rendu dans un piètre état à la société Blériot-Aéronautique. L’activité cesse en 1966 et la fermeture définitive intervient en 1970.
Désormais les vestiges de la porte monumentale sont les seules traces de ce passé exceptionnel. L’opération de restauration vise donc à redonner au site toute sa valeur patrimoniale.
Un important chantier de restauration :
Le centenaire de la traversée de la Manche, en 2009, a été l’occasion pour la commune de Buc de revenir sur son passé par la réalisation d’un ouvrage très documenté « Buc à travers l’aviation » ainsi qu’en recevant de la société SECAMIC, un Mirage III, visible avenue Jean Casale. En 2012, la commune de Buc souhaite pérenniser la mémoire de Louis Blériot en engageant une restauration de la porte de l’Aéroparc Blériot.
Grâce à une documentation historique très importante, la restitution de cette porte monumentale est désormais possible. En complément, la restauration de la statue érigée à la mémoire de Jean Casale (1893-1923), pilote virtuose de la Grande Guerre et aviateur aux établissements Blériot, est nécessaire : les lacunes et usures sur le monument étant très importantes.
L'appel est donc lancé à tous les amis de la commune, amoureux de l'aviation, responsables d'entreprises. Une participation même modeste, sera une pierre apportée à cet heritage et à la valorisation de l'histoire de l'aviation.
Télécharger le bon de souscription
26/06/2012
Heli Union, ACOP, Aériapole, partenaires des Ruches
Ruchers Toussus 2012 par grainesdetoussus
C'est donc autour de ses amis, du monde de l'aviation et d'ailleurs que Patricia Lamy a inauguré les trois ruches qui ont trouvé preneurs. La première ruche sera baptisé Heli Union. Le nouveau directeur a voulu marquer la présence de sa compagnie au travers de ce projet de miel et d'abeilles sur Toussus.
De même Christine Ascione et l'Aeroclub de l'Ouest Parisien (ACOP) seront partenaires ainsi qu'Aeriapole de Gérard Finan.
Le troisième étant désigné à Arc en Ciel Communication.
L'enthousiasme des présents lors de cette fête conduira plusieurs autres entreprises à s'intégrer à ce projet.
Lors de cette fête, très réussie, nous avons compté la présence de plusieurs personnalités du monde de l'aviation, dont M Michel de Ronne, Directeur d'ADP, de François Georges ancien président de AéCF, d'Alexandre Couvelaire d'Euralair, du directeur d'Heli Union, Thierry Vigoureux, du Point, de Jean Pierre Trimaille PDG d'Aero Entreprise, du Maire de Buc, Jean Marc Le Rudulier, etc...
Dominique Méglioli du magazine Volez et ses collaborateurs de la PAF (Pilotes Apiculteurs de France) qui ont installé les ruchers au Bourget, ont initié tous les présents à la première récolte de miel. Une expérience bien surprenante et délicieuse.
Un buffet largement garni, cuisine salée sucrée au miel, évènement oblige, a été finement préparé par Thimothée, du Restaurant des Quatre Saisons à Toussus.
Un remerciement à la communauté d'arche-Aigrefoin qui a apporté sa contribution au décor et aux avions en papiers, qui ont activé un paravent léger et aérien à l'orchestre et leur danseuse de claquettes.
Derniers, mais non des moindres, bravo à aux acteurs qui ont monté la mise en scène de la pièce de Théâtre sur le thème des abeilles, pour l'occasion.
Avant de clore la soirée, chacun des présents a eu droit à remplir son flacon de miel de cette première récolte et partir avec le livre "d'Azur et d'Or" offert par Aériapole, afin que le passé de notre territoire éclaire le futur de notre Région.
21/06/2012
E-aviation et les enfants d'Epône
Ces jeunes ne sont pas venus les mains vides. Ils avaient sous le bras de superbes toiles d'avions qu'ils avaient peints et les offrir.
Alain Merour et ses collaborateurs étaient très émus de ces beaux cadeaux. "Elles auront toutes leur place sur les murs des locaux ASF Mama Daktari de Toussus-le-Noble, foi de pilote" a assuré Alain.
19/06/2012
Initiation des enfants à l'aérien chez e-aviation à Toussus
Plusieurs pilotes bénévoles et volontaires d'ASF sont venus initier les enfants des écoles au monde de l'aérien.
Expliquer à des enfants de CM2 comment un objet plus lourd que l'air puisse voler et se déplacer, une magie permanente à laquelle même les adultes succombent.
Aujourd'hui c'est deux classes de 47 élèves de CM2 qui sont venues de Palaiseau pour y passer la journée. Ils se sont bousculés pour prendre place chacun autour de son poste et proceder à quelques tours de piste sur flight simulator de Microsoft, guidé par des pilotes chevronnés.
Jeudi 21 juin, Alain Merour et son équipe recevront deux autres classes d'Epone. Cinquante jeunes qui découvriront à leur tour le monde de l'aérien, un fil rouge qui viendra accompagner leur programme scolaire.
Certains en feront peut être leur métier, en tout les cas c'est le souhait de tous ces adultes, pilotes qui souhaitent faire découvrir à des jeunes une activité motivante et les sensibiliser aux domaines de l'humanitaire et du social à travers la présentation des activités d'Aviation Sans Frontières.
C'est aussi une fenêtre ouverte vers les filières et les métiers de l'aérien en leur faisant toucher du doigt la diversité des opportunités professionnelles qui existent dans ce domaine et les moyens pour y arriver.
Visite du site : http://www.asf-fr.org/e_aviation_tsu pour mieux les connaitre et participer à leurs activités.
11/06/2012
Une histoire d’amour entre Patricia Lamy et l’aéroport de Toussus
Cette histoire démarre en mars 2007, en pleine préparation du Centenaire de l’aéroport de Toussus. Mon ami, Gerald Similowski, membre fondateur d'Aviation sans Frontières me fait faire la connaissance de Patricia Lamy, membre du conseil d'administration de l'Aéro-Club de France, pilote de ballon et spécialiste en communication dans l'événementiel aérien.
Elle intègre naturellement, la commission communication, en charge de la communication régionale sur l’évènement.
C’est là que j’apprends l’attachement de Patricia Lamy à l’aéroport de Toussus qu’elle a beaucoup fréquenté depuis son enfance.
Ses souvenirs datent des années 70 : son père, Bernard Lamy, ancien pilote militaire devenu directeur export du groupe Seb-Tefal, effectuait ses voyages en pilotant lui-même un avion privé, loué par son entreprise : il pouvait ainsi optimiser ses tours d’Asie ou du Moyen Orient, affranchi des contraintes des horaires d’avions de ligne. Pour les aviateurs, au fur et à mesure de ses qualifications, Bernard a piloté un monomoteur français (Régent (F-BOZM)), puis plusieurs avions jusqu’au bi-turbo propulseur Beechcraft « King Air » ( F-BTMM). Il emmenait ses enfants, et surtout Patricia qui était l’aînée, dans ses voyages lorsque ceux-ci tombaient pendant les vacances scolaires. C’est ainsi que Bernard et Patricia sont allés jusqu’à Tokyo en Régent avec des poëles et casseroles sur les sièges arrières.
Et puis, en 1981, Bernard Lamy et Patrick Fourticq participent à la course « Air Transat », organisée par l’AOPA, Bernard alors de faire partager l’exaltation des courses aériennes à d’autres pilotes, et d’organiser de grandes courses aériennes : ULM tout d’abord (Londres-Paris, Grand Prix de France) puis avion : Air Transafricaine en 1984, Aéropostale en 1985 (Toulouse-Natal-Rio), Paris-Pékin-Paris en 87, Route de la Vanille (vers La réunion) en 88, Malaysia Air Race en 90, puis tours du monde en 92, 94, Race of the Americas en 96 et Long Range Air race (Reykjavic – Antalya) en 97. Ces courses partent de et arrivent à Toussus. Jacques PAGEIX, Directeur de l’aéroport à cette époque, s’en souvient bien !
Patricia et ses deux frères travaillent avec leur père sur toutes ces courses. Didier et Bruno Lamy sont maintenant pilotes de ligne (CDB 777 à Air France). Ils ont été formés à l’Aéro-Club d’Air France à Toussus. Patricia deviendra, elle, pilote de montgolfière.
Le centenaire de Toussus était donc l’occasion de se remémorer ces souvenirs.
Le centenaire est derrière nous, mais pour Patricia Lamy la page n’est pas tournée. Elle délocalise en 2008 son agence Arc en Ciel Communication, basée à Neuilly pour venir s’installer à Gif s/ Yvette, proche de cet aérodrome qu’elle chérit tant. Elle décide de se lancer dans une communication pour la promotion de la culture aéronautique et des métiers de l’air et à l’espace pour les enfants. Elle organise « Le Ciel est à Toi », un programme pédagogique, dont la première a lieu à Toussus avec les enfants de l’espace jeunes de Buc, et le parrainage de la Mairie.
Elle présente avec Arc En Ciel Com et Aeriapole un projet anthropique de réaménagement du fort du haut Buc lors d’un concours d’idées pour la réhabilitation de ce lieu mythique et historique actuellement désaffecté.
Elle ne ménage pas ses efforts de communication autour de l’aéroport pour créer le lien convivial entre usagers et riverains, dans un juste équilibre en vue du maintien d’une harmonie de cohabitation entre toutes les parties.
Aujourd’hui, Arc En Ciel Com installe des abeilles sur l’aéroport, pour marquer ses 10 ans : un aéroport, c’est aussi un vaste espace vert, non traité, et donc à fort potentiel de biodiversité. Des journées découverte seront organisées pour les enfants des communes voisines, et le bénéfice de la vente du miel sera versé à l’antenne « e-aviation » d’Aviation Sans Frontières », très active sur l’aéroport.
Des projets de communication et de valorisation d’un patrimoine riche et prospère qui tient bien haut les couleurs du savoir faire français.
Espérons que de nombreux partenaires la soutiendront et se joindront à elle pour monter ensemble toutes ces actions, afin de faire épanouir cette culture aéronautique et permettre de transmettre un savoir à une nouvelle génération.
Pour la parenthèse, Patricia Lamy est la seule femme qui a pu survolé et longé en ballon la muraille de Chine. Elle s’est occupée notamment de la communication du Centenaire de l’aviation à Bordeaux Mérignac, et fait partie des organisateurs de la coupe Breitling 100/24 qui en est à sa troisième édition.
07/06/2012
le 100/24 et le maillage aéroportuaire français
http://www.cent24.fr/index.php/presse/
04/06/2012
Ce week-end, Queen Jubilee à Londres et fête de la petite reine à Paris
Pour la première fois, le fanion de VeloToussus a flotté dans cette manifestation fort sympathique et le groupe encadré par les organisateurs de VeloBuc, bien expérimentés en la matière.
01/06/2012
Ergonomie du VAE dans la topographie du plateau de Saclay
En général, ni le moteur électrique ni les batteries ne réclament d'entretiens particuliers. Seule la partie cycle doit être entretenue comme un vélo classique.
En montée, l'assistance électrique est très efficace, pour des pentes faibles et moyennes faisant jusqu'à 8 ou 10 %. Les VAE dont le moteur est intégré au pédalier profitent du changement de vitesses pour garder une aptitude à monter des pentes plus raides (à faible vitesse) avec un développement adéquat.
Au quotidien, le VAE est intéressant pour des trajets quotidiens courts ou moyens (de 30 à 50 km), avec un dénivelé de quelques centaines de mètres. Il est idéal en particulier pour des personnes se déplaçant beaucoup en ville et souhaitant se déplacer rapidement sans trop d'efforts, ou encore pour des personnes handicapées, ou simplement pour rapporter en centre-ville ses provisions d'un supermarché de proche banlieue.
Il est de plus en plus prisé pour des déplacements domicile-travail par toutes les couches sociales, et très particulièrement par les cadres et catégories socio-professionnelles supérieures : car il permet d'arriver sur son lieu de travail sans traces d'efforts (sueur...) et de rejoindre son domicile après sa journée de travail. Le fait d'emprunter les aménagements cyclables permet en effet d'éviter les bouchons aux heures de pointe.
A l'occasion de la Fête du Buc le samedi 2 juin 2012 et avec VeloBuc, les "Cycles Jacquot" de Versailles proposeront à nouveau un choix de vélos à assistance électrique (VAE) pour des essais sur les pentes de Buc.
31/05/2012
Valerie Pecresse à la rencontre de Toussus, une députée engagée et déterminée
Compte rendu de la reunion publique à Toussus sur http://www.valeriepecresse.fr/
23/05/2012
Les aéroports, amis de la biodiversité : l’agence Arc En Ciel Communication installe un rucher sur l’aérodrome de Toussus le Noble (Yvelines).
C’est aussi un vaste espace vert, non traité, et dont la zone réservée aux évolutions des avions et hélicoptères est très peu fréquentée : un lieu idéal pour y installer des colonies d’abeilles !
Suivant l’exemple des « Pilotes Apiculteurs de France » (PAF), qui ont déjà implanté une dizaine de ruches sur le toit du Musée de l’Air et de l’Espace au Bourget, et avec le soutien enthousiaste d’Aéroports de Paris, Arc En Ciel Com, installée tout près de Toussus, a décidé de financer l’installation de trois colonies d’abeilles sur la zone réservée de l’aérodrome, du côté Est. L’endroit est en effet très bucolique : bosquet, étang, buissons fleuris... Les pensionnaires, en place depuis fin avril, semblent s’y plaire beaucoup.
Patricia Lamy, fondatrice de l’agence, déclare : « Nous fêtons cette année les 10 ans d’Arc En Ciel Com ; depuis 2002, nous travaillons pour le monde aéronautique – entreprises et associations – et pour des causes d’intérêt général – lutte contre les discriminations, handicap, éducation, biodiversité. Les abeilles appartiennent au milieu aérien, et leur sauvegarde est essentielle pour l’avenir de l’humanité. Cette action est donc à la fois légitime et très utile ».
L’accueil des usagers et des autorités sur l’aéroport est très favorable ; l’inauguration officielle du rucher aura lieu le 21 juin, en présence des élus locaux, des associations de riverains et d’usagers de l’aéroport, et de très nombreux représentants du milieu aéronautique.
16/05/2012
En route vers la Convergence du 3 Juin et la fête du velo
9h50 Les Loges-en Josas : Mairie
- Saluer le départ du convoi vers Paris et après cette boucle à Versailles, retourner sur Buc - Loges - Toussus - Châteaufort.
- Continuer vers Paris pour y retrouver des milliers de cyclistes de toute la région parisienne (possibilité de retourner sur Versailles en train : prévoir un ticket à l'avance pour éviter l'attente)
Visitez le site MDB : Mieux se Déplacer à Bicyclette
22/04/2012
Brutales modifications au projet de métro du Grand Paris sur Saclay
Votre mobilisation est indispensable pour limiter les nuisances d’un tel projet. Déjà plus de mille signatures ont été signées sur Villiers, St Aubin et Châteaufort.
Pour rejoindre le Collectif des villages du Plateau de Saclay et signer la pétition en ligne :
http://www.petitionenligne.fr/petition/collectif-non-au-metro-en-aerien-sur-le-plateau-de-saclay/2412
19/04/2012
La Société du Grand Paris défend un métro souterrain à Saclay.
Le bilan du débat public sur le transport du Grand Paris sera publié le 31 mars, mais, déjà, la Société du Grand Paris (SGP), dirigée par Marc Véron, remet sur la table le dossier de Saclay en rappelant sa préférence pour une desserte du plateau en métro automatique souterrain. Si le désaccord persiste entre l'État et la région Ile-de-France sur ces terres de l'Essonne et des Yvelines appelées à se transformer en Silicon Valley française d'ici 2025, Marc Véron, ancien collaborateur de l'ex-ministre Christian Blanc, rappelle que «selon la loi Grand Paris du 3 juin 2010, qui n'a pas changé, Saclay doit être desservi par le métro automatique».
Dans un document publié hier sur «les exigences environnementales du Métro Grand Paris», la société maître d'ouvrage du métro automatique indique en outre que la solution du souterrain permettrait «la valorisation des potentiels de développement économique» du plateau «tout en préservant le cadre de vie de ce poumon vert aux portes de Paris ». «Les 2 300 ha de terres agricoles sont absolument inviolables», rappelle Marc Véron.
Une vingtaine de kilomètres «en viaduc aérien»Sur les 160 km du métro destinés à ceindre la capitale d'une double boucle desservant quelque 42 gares à une vitesse moyenne de 65 km/h, Marc Véron estime qu'il devrait y avoir seulement une vingtaine de kilomètres «en viaduc aérien». «Pour des raisons de sécurité, il ne sera pas possible de construire un métro terrestre», précise le directeur de la SGP. Ces chiffres peuvent évoluer, puisque une quinzaine de demandes de gares supplémentaires sont en attente d'une réponse d'ici fin mai, date à laquelle le tracé définitif sera posé. La SGP indique que les chiffres du rapport aérien/souterrain restent aussi variables. À Saclay est ainsi laissée ouverte la possibilité de faire de l'aérien en viaduc au-dessus des voies de la D 36, au sud, allongeant le trajet de 10 kilomètres. «Nous sommes là avant tout pour présenter l'ensemble des possibles», indique Véron. Le plus probable, au final, sera un mixte des deux du fait de contraintes topographiques identiques à celles du plateau de Clichy, à l'est.
Sur cette façade est, justement, l es architectes de l'Atelier international du Grand Paris viennent de présenter leur projet de desserte reliant les aéroports du Bourget et d'Orly. Alors que l'accord récent État-région sur le Métro Grand Paris prévoit un investissement de 32,4 milliards d'euros, l'AIGP vante sur cette section une économie «très substantielle» du fait de «l'usage systématique d'emprises existantes».
Par Sophie de Ravinel – paru dans le Figaro du 03/03/2011
Débat Public : Le débat public sur le projet de Réseau de transport du Grand Paris a pris fin le 31 janvier 2011.
Documents du Débat Public
16/04/2012
L’aéronautique et le logiciel leaders de la création d’emplois entre 2009 et 2011
Entre 2009 et 2011, l’aéronautique est à l’origine de nouveaux emplois, dans toutes ses branches. Au total, l’ensemble de la filière a créé plus de 5000 emplois nets entre 2009 et 2011, en y incluant la sous-traitance et les bureaux d’ingénierie.
La seule filière aéronautique représente tout de même 3 425 créations nettes.
Usine Nouvelle – Barbara Leblanc – 16 avril 2012
29/03/2012
2/88, le maillon manquant pour une circulation douce sécurisée
08/03/2012
Quand les entreprises sur l’aéroport de Toussus forment la nouvelle génération au monde de l’aéronautique.
Tel est l’exemple de MAT AVIATION qui accueille Claire Bandiaky (24 ans), étudiante en Master 1 à l’Institut de Maintenance Aéronautique à Bordeaux pour un stage de deux mois au sein de l’entreprise, autour du suivi de navigabilité des hélicoptères.
Cette étudiante, spécialisée en avionique et systèmes aéroportés, après une Licence Électronique à l’Université de BORDEAUX 1, a choisi de se spécialiser dans la maintenance aéronautique qu’elle considère comme une formation riche et diversifiée.
Une entreprise de Toussus lui a ouvert ses portes.
Basée sur l’aéroport de Toussus-le-Noble, l’entreprise MAT AVIATION, créée en 1996, forte des 30 années d’expérience de son directeur dans la maintenance d’hélicoptères, lui a donné la possibilité de venir parfaire ce stage.
MAT AVIATION accueille chaque année des jeunes stagiaires et apprentis mécaniciens. Le Groupe met un accent particulier sur la qualité, la diversité, le dynamisme et le professionnalisme de l’ensemble de son équipe.
La mission de Claire Bandiaky : Aider le responsable Bureau Technique dans le suivi de navigabilité de 25 aéronefs :
-La planification des visites périodiques des cellules et moteurs ;
-Les suivis, gestion et statut des équipements à durée de vie contrôlée (Pièces à Vie Limitée, moteurs et équipements et toutes pièces à potentiel calendaire, cycles ou durée)
-La maîtrise et gestion des AD/CN et SB Les Consignes de navigabilités (CN) à appliquer
Au-delà d’enrichir de ses connaissances théoriques en réglementation, ce stage lui permet d’appréhender l’aspect technique des choses.
Une transmission du savoir et de la connaissance aéronautique, sur un aérodrome et une commune « Berceau de l’Aviation »
01/03/2012
Le métro automatique sur le plateau de Saclay
Les candidats à l’élection présidentielle multiplient leurs visites sur le Plateau de Sacaly ; cet espace qui sera dedié à l’excellence scientifique.
Les divers partenaires, Etats, collectivités locales se sont mis d’accord sur le tracé du futur métro automatique qui desservira le plateau avec trois gares pour un espace promis à 12000 chercheurs et 30.000 étudiants. Un aspect du plateau qui sera certainement complètement modifié.
Configuration générale du réseau de transport public du Grand Paris serait telle que representée dans le schéma ci dessus.
Le réseau de transport public du Grand Paris est organisé autour de liaisons de rocade desservant les territoires de proche et moyenne couronnes et d’une liaison diamétrale permettant de les relier au cœur de l’agglomération. Le schéma d’exploitation prévisionnel se compose de trois lignes :
Une ligne rouge Le Bourget – Villejuif – La Défense – Roissy / Le Mesnil-Amelot
Une ligne bleue Orly – Saint-Denis Pleyel
et celle nous concernant, une ligne verte Orly – Versailles – Nanterre :
La ligne verte assure la desserte du pôle scientifique et technologique du plateau de Saclay ainsi que des grands bassins d’habitat et d’emploi des Yvelines et de l’Essonne, reliés aux principaux pôles de transport de l’Ouest et du Sud parisiens. Elle améliore de manière significative l’accessibilité d’un territoire ayant vocation à devenir l’un des secteurs-clés du
Grand Paris.
Dans un premier temps, la ligne verte relie la plateforme d’Orly, à l’Est, aux territoires de Saint-Quentin-en-Yvelines et de Versailles, au Nord-Ouest du plateau de Saclay. La ligne verte possède alors une longueur totale d’environ 35 km.
Ultérieurement, la ligne verte sera prolongée au Nord en direction de Rueil et Nanterre, de manière à offrir une liaison de rocade performante en moyenne couronne pour le Sud, l’Ouest et le Nord-Ouest parisiens. Dans sa configuration Orly – Versailles – Nanterre, la ligne verte aura une longueur totale d’environ 50 km.
source : http://www.societedugrandparis.fr
23/02/2012
Convergence francilienne pour la fête du Vélo, le 3 Juin 2012
Venez faire la fête du vélo à Paris ! par mairiedeparis
Le 3 juin 2012, jour de la fête du vélo nationale, il sera à nouveau possible de parcourir les grandes avenues et places du centre de Paris dégagées un court moment de la circulation automobile qui les caractérise.
Grande nouveauté, cette année 2012 verra la participation des clubs de cyclotourisme FFCT aux côtés des associations franciliennes qui militent pour le développement du vélo comme moyen de transport au quotidien.
Les contacts suivis entre les deux mouvements cyclistes depuis le printemps 2011 ont rapproché les projets et le rassemblement du 3 juin à Paris sera aussi la fête du cyclotourisme, joignant les militants du "vélo utile" et ceux du "vélo passion". Voilà l’occasion de se mêler, de découvrir la richesse de nos diversités, d’apprendre les uns des autres et de se joindre dans une partie de "vélo plaisir".
L’évènement prend le nom de Convergence francilienne, qui traduit la reprise des deux héritages.
Le principe reste le même : des cortèges de cyclistes grossissent en se rapprochant de Paris où ils se rejoignent au cœur de Paris (Louvre-Rivoli) pour une parade finale qui les mènera vers 13 h 30 sur les pelouses du Champ-de-Mars pour un pique-nique géant.
- participation gratuite et ouverte à tous les franciliens de 8 à 88 ans sachant faire du vélo ;
- pas d’inscription nécessaire, juste un vélo en état de marche et de la bonne humeur ;
- utilisation des transports en commun, notamment au retour, pour une participation la plus large possible ; rappelons que le transport des vélos est gratuit et sans restriction le dimanche sur tous les trains RER et Transilien (chaque voyageur doit être muni d’un titre de transport) ;
Velobuc participera à cette manifestation. Pour ceux qui le souhaitent, toutes les modalités vous parviendront en temps utile. Il suffit de vous rapprocher des organisateurs à Velobuc et de joindre l'assocation :
velobuc@free.fr - Velobuc 6 place Corot 78530 Buc - site : http://velobuc.free.fr/
Départ de la Mairie de Toussus le 3 juin 2012 à 09h45.
Une belle journée en perpesctive où la priorité des routes à Paris sera donnée à la bicyclette.
Site de mieux se déplacer à bicyclette : http://www.mdb-idf.org/spip/spip.php?article55
20/02/2012
A Montréal, un jeune Libanais plante des serres sur les toits
Un reportage, consacré aux Fermes Lufa, réalisé par journalmetro.com
Dans la serie des acteurs dans leur cadre de vie, un exemple de ces jeunes Libanais de la diaspora qui font parler d'eux. Avec ses Fermes Lufa, Mohamed Hage développe l’agriculture urbaine. Des projets qui méritent qu'on en parle.
Mohamed Hage se souvient encore du tabbouleh et des salades de sa mère. Un festival de goûts et de fraîcheur auquel il contribuait, puisque c’était lui qui, enfant, allait acheter chez le voisin le persil et les laitues. C’était au tournant des années 80 et 90, à Wardaniyeh, un village situé à 2 kilomètres de la mer, près de Saïda au Liban-Sud. En terme d'agriculture de proximité, difficile de faire mieux.
Aujourd’hui, Mohamed, 31 ans, vit à des milliers de kilomètres de Wardaniyeh. Depuis 1994, il est installé avec sa famille à Montréal, au Canada. Mais il n’a pas oublié le plaisir que procurent fruits et légumes tout juste cueillis.
"Il y a huit ans, j’ai commencé à regarder ce qui existait au Canada, en terme de techniques agricoles. Je voulais voir ce qui pourrait marcher au Liban pour améliorer la croissance des légumes de mes cousins", explique Mohamed Hage contacté par téléphone par lorientlejour.com. Une grande partie de sa famille au Liban est dans l’agriculture.
Mohamed cherche, se renseigne, étudie. Une idée commence à germer dans la tête du jeune Libanais. Elle se concrétise une nuit, à 2 heures du matin, il y a cinq ans : "Développer un modèle de production de légumes urbains. Comment ? Avec des serres installées sur les toitsde Montréal".
Il y a un an et demi, était lancée, sous la direction de Yahya Badran, un ami d’enfance libanais de Mohamed, la construction d’une serre de 3.000 mètres carrés sur un immeuble de bureaux de deux étages à Montréal.
L’affaire est baptisée Les Fermes Lufa, du nom de ces courges qui "couvraient et rafraîchissaient la maison familiale à Wardaniyeh. Elles pouvaient être mangées, utilisées en éponge, et ne demandaient quasiment rien en contrepartie".
La serre des Fermes Lufa dont le slogan est "frais, local, responsable", son principe repose sur la récupération, la rentabilité et le bio.
Récupération de la chaleur d’abord, élément pour le moins crucial dans une ville où la température moyenne en hiver est de -10° C.
"En récupérant la chaleur produite par l’immeuble sur lequel la serre est installée, nous parvenons à créer le climat de Boston à Montréal", explique le jeune homme, diplômé en informatique. Gros avantage pour les propriétaires de l’immeuble : l’effet isolant de la serre permet de réduire les coûts de chauffage et de climatisation.
Récupération aussi de l’eau de pluie, en sus d’une irrigation au goutte-à-goutte et d’une recirculation de l’eau d’irrigation.
Rentabilité en éliminant les coûts de transport, les intermédiaires et les délais. "Nous vendons les légumes directement au consommateur", explique Mohamed Hage.
Après inscription, le client reçoit, une fois par semaine, un panier de légumes. Celui de la semaine du 13 au 17 février dernier comprenait différentes variétés de tomates, des poivrons, des piments, de la laitue, du fenouil. Une variété de produits rendue possible par la création de microclimats, grâce à des logiciels spécifiques, dans la serre.
"Nous nourrissons 2.000 personnes avec des légumes cueillis dans la journée, s’enthousiasme Mohamed. Et nous ne dépensons que 15 dollars d’essence par jour pour la livraison".
Des légumes vendus au prix du marché, mais garantis frais et sans pesticides.
"Nous cultivons bio. Pour éviter le recours aux pesticides et herbicides, nous avons recréé un écosystème en introduisant chaque semaine, par exemple, des coccinelles pour éliminer certains insectes nuisibles. 5 % de nos légumes sont abîmés par les insectes, mais en contrepartie, nous économisons sur la main d’œuvre (en l’absence de pesticides, les abeilles peuvent faire la pollinisation). Ce n’est pas facile, il faut beaucoup de discipline, apprendre à faire de la biologie en serre, gérer les insectes, mais il n’y a rien de mieux pour la santé", souligne le jeune entrepreneur.
Aujourd’hui, les Fermes Lufa emploient 19 personnes, dont 12 qui se consacrent au développement de la compagnie, à savoir la construction de deux nouvelles serres.
Mais le jeune Libanais rêve plus loin encore : "J’espère qu’à travers le monde vont se multiplier les villes agricoles. Les fermes sur les toits permettent de récupérer des terres, de réduire les distances de transport et de vendre des légumes frais, sans pesticides, et à haute valeur nutritive. Il y a tant d’avantages à produire des légumes en ville, je pense que c’est l’avenir de l’agriculture".
Un tel projet aurait-il pu être monté au Liban, que Mohamed retrouve chaque année pour les vacances ? "L’accès à la technologue en Amérique du nord est un grand facteur dans la réussite des Fermes Lufa", reconnaît-il. Autre facteur important : les Fermes Lufa ont bénéficié d’un soutien des autorités montréalaises. "Parfois, on a l’impression qu’au Liban, il est plus difficile de promouvoir un projet hors norme", poursuit-il.
Ce qui n’empêche pas le jeune Libanais de vouloir monter, "un jour", un projet semblable au Liban, "ce morceau de paradis pour nous qui habitons à l’étranger". Pour le moment, rien de concret n’est toutefois prévu, les Fermes Lufa préférant bien développer leur technique avant de lancer une expansion mondiale.
Par Émilie SUEUR | olj.com | 20/02/2012
site : https://lufa.com/
16/02/2012
Inauguration du « Ciel artificiel » au laboratoire d’AirDesignLab à Toussus-le-Noble
Cet instrument permet de prendre la mesure de la lumière naturelle à l’interieur et à l’exterieur de maquette de bâtiment neuf ou en renovation.
Fondée il y a deux ans, AirDesignLab est l’une de ces nouvelles sociétés et d’entrepreneurs en phase avec leur temps et leur époque.
A l’heure de la crise de l’énergie, des dérèglements climatiques et du développement durable, AirDesignLab, un Laboratoire d'Architecture Intégrée dédié au développement de bâtiments à haute efficacité énergétique en France a choisi de venir s’installer récemment sur Toussus-le-Noble et dans l’aéroport qui répondent parfaitement aux critères du choix d’installation de cette societé.
Julien Rathle nous informe que si Toussus a été choisi c’était pour l'espace ouvert qu'offre l’aéroport de Toussus et surtout son histoire.
Peu d’endroits en région parisienne peuvent bénéficier d’une histoire aussi longue et pérenne répondant aux questions météorologiques, aéronautiques et urbaines depuis 1907 à aujourd’hui.
Car en effet, AirDesignLab apporte une expertise du climat à ses clients notamment par l'utilisation de la météorologie et la mise en place de stratégies climatiques particulières à un site et un programme. « Elle mesure et quantifie l'usage de l'environnement naturel afin de limiter l'appel aux systèmes mécaniques et aux ressources non renouvelables » nous explique M Rathle.
La socité travaille actuellement sur plusieurs projets à l’international dont notamment à Luxor (Egypte) pour les monuments historiques, ainsi que pour des grandes chaînes internationales qui souhaitent maximiser dans leur centres commerciaux le rendement lumière et ventilation d’air chaud/froid en fonction de la géolocalisation, de la période et du nombre de passage.
Si le centenaire de l’aéroport de Toussus en 2007 avait pour devise : « Pour que la mémoire demeure », cette mémoire est l’identité de notre commune et de notre région.
L’aéroport et son espace sont une solution aux questions économiques de notre époque. La venue d'AirDesignLab, une entreprise innovante, jeune et dynamique, à Toussus en est la preuve.
Site : http://www.airdesignlab.com/
08/02/2012
Alliance Associative pour la suppression des vols et la reconversion de l'aérodrome de Toussus-le-Noble
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Création de l’Alliance Associative pour la suppression des vols et la reconversion de l’aérodrome de Toussus-le-Noble Les nuisances et les dangers potentiels générés par l’accroissement des activités aériennes sur le secteur de Toussus le Noble ne cessent de s’accroître.
D’autant que l’autre particularité de cet espace est de subir un cumul de trafics de toutes catégories d’aéronefs en provenance ou à destination de plate formes voisines. Parmi ces aéronefs figurent les hélicoptères en très grande et constante progression dont le survol se propage sur toute la vallée de Chevreuse. Ils sont les pires en matière de bruit et il n’existe aucune solution technique permettant d’en atténuer les effets.
Dans le but de répondre à la légitime attente des habitants de vivre dans des conditions normales de tranquillité, de salubrité et de sécurité, les associations de défense des riverains de l’aérodrome de Toussus le Noble ont décidé de s’unir au sein d’une structure collective : « l’Alliance Associative pour la suppression des vols et la reconversion de l’aérodrome de Toussus le Noble ». A ce jour, cette alliance regroupe 42 associations, collectifs et unions d’associations concernés par le problème. L’UAPNR de la Haute Vallée de Chevreuse en fait partie.
L’une des premières actions de l’Alliance a été une large diffusion d’un «MANIFESTE» dont le succès auprès des habitants et des élus est incontestable. Nos voix se font progressivement entendre et ont conduit à un premier résultat. Un arrêté ministériel entré en vigueur le 15 aout 2011 impose une plage de silence total de 12 à 15h. les dimanches et jours fériés du 1er avril au 30 septembre de chaque année.
Même s’il est trop tôt pour faire un bilan, les premiers constats révèlent un manque de civisme des pilotes et un report des activités sur d’autres plages horaires. Et surtout cet arrêté ne résoudra pas les problèmes de la semaine et n’empêchera pas le « tourisme hélicoptère » sur la vallée. C’est pourquoi les associations continuent à demander l’arrêt de cette activité et la reconversion de la plate-forme.
Mais cela prouve qu’enfin l’exaspération des publics survolés est prise en considération par les services de l’Etat après plus de trois décennies d’indifférence. La prochaine étape consistera à programmer des réunions d’information et s’il le faut à organiser une manifestation d’envergure.
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source : http://sivauhallan.com